L’ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL est un trouble vasculaire cérébral touchant les vaisseaux sanguins qui amènent le sang au cerveau.
Un accident vasculaire cérébral survient lorsque le flux sanguin rencontre un obstacle (caillot sanguin ou vaisseau sanguin rompu) qui bloque son passage vers les différentes parties du cerveau, ce qui prive ces dernières de leur apport vital en oxygène, causant leur disfonctionnement puis leur mort en quelques minutes.
Les effets dévastateurs d’un accident vasculaire cérébral sont souvent permanents car les cellules cérébrales mortes ne sont pas remplacées. Il existe deux types d’AVC :
- Les AVC ischémiques ou infarctus cérébraux (80% des AVC) : Une artère est bouchée par un caillot de sang, ce qui bloque la circulation sanguine.
- Les AVC ischémiques ou infarctus cérébraux (80% des AVC) : Une artère est bouchée par un caillot de sang, ce qui bloque la circulation sanguine.
Il arrive que l’accident ne dure que quelques dizaines de secondes ou quelques minutes : on parle alors d’accident ischémique transitoire, lequel peut annoncer la survenue d’un accident définitif.
L’AVC est la première cause de handicap physique de l’adulte en France. Les AVC sont souvent responsables de séquelles lourdes, l’accident pouvant toucher des grandes fonctions neurologiques, telles que la motricité (hémiplégie), la sensibilité (anesthésie, douleurs), le langage (aphasie), la vision, ce qui entraîne de nombreuses difficultés de réinsertion.
La prise en charge en urgence de l’AVC par une équipe spécialisée permet de réduire ses conséquences. Malgré cela, l’AVC reste une maladie grave, les deux tiers des personnes atteintes conservant des séquelles et certaines devenant dépendantes dans leur vie quotidienne.